L'expansion du jeu dans la région de Québec est une possibilité qui se rapproche de jour en jour. Une exploitation tribale pourrait être la solution, car la Nation huronne-wendat souhaite goûter au monde du jeu. Un porte-parole du ministre des Finances, Éric Girard, a récemment précisé que le gouvernement du Québec souhaitait collaborer avec la Première nation.
La conversation sur l'exploitation des jeux de hasard dans la ville de Québec s'est accélérée au cours des deux dernières semaines. Tout a commencé à prendre forme lorsque le ministre des Finances a déclaré que le gouvernement provincial était intéressé par l'introduction du jeu dans la capitale. Il a également précisé que cela ne signifiait pas qu'un casino commencerait à être exploité dans la ville de Québec. Une salle de jeu potentielle avec une offre limitée pourrait accumuler des revenus de jeu considérables à l'avenir.
Une première nation veut participer à l'exploitation des jeux de hasard
Le Salon de Jeux de Québec est la salle de jeux en question qui pourrait être relocalisée dans un avenir proche. Dès qu'elle a été informée de la possibilité d'une expansion des jeux, la nation huronne-wendat a manifesté son intérêt pour le projet. gestion d'un lieu de jeu, L'entreprise de jeux de hasard et d'argent offre une nouvelle opportunité à sa communauté de bénéficier d'avantages. Les autochtones recherchent l'égalité des chances en matière d'emploi et de développement, l'exploitation des jeux étant l'une d'entre elles.
Le grand chef de la nation huronne-wendat, Konrad Sioui, Les Premières nations ont exprimé leur volonté d'agir si et quand la salle de jeu existante sera relocalisée. Le ministre Girard a répondu qu'une collaboration était en cours, le gouvernement Legault étant toujours désireux d'aider les Premières nations dans leurs efforts. Pour l'instant, la nation tribale prend au sérieux les avantages et les inconvénients d'une nouvelle salle de jeu dans la capitale.
M. Sioui a déclaré que la tribu souhaitait être incluse dans la relocalisation qui permettrait à un public plus large d'accéder aux activités de jeu dans les locaux de la salle de jeu. Cependant, la relocalisation devrait prendre en compte l'environnement de la tribu. l'impact d'une salle de jeux sur la région choisie. Le jeu compulsif a été mis en évidence comme une conséquence possible du plan.
La réserve de Wendake pourrait bénéficier de revenus issus des jeux
Le maire Régis Labeaume a récemment fait savoir qu'un casino privé n'était pas le bienvenu dans la capitale et en particulier à Sainte-Foy, qui est toujours un territoire fédéral. La tribu a clairement indiqué que la réservation de jeux de hasard pourrait avoir lieu dans les limites de la réserve de Sainte-Foy. La réserve urbaine de Wendake est située à une quinzaine de kilomètres de Sante-Foy.
Le maire a opposé un refus catégorique à l'égard d'un casino géré par l'un des opérateurs privés de casinos qui règnent dans les autres provinces canadiennes. Pour lui, Loto-Québec est le seul joueur possible qui ne menacerait pas la communauté. La nation tribale est également intéressée par une collaboration avec la société d'État, mais pour l'instant aucune conversation n'a eu lieu entre la Première nation et le responsable de la loterie.
Cette dernière a commandé une étude portant sur l'impact d'une salle de jeux loin de Fleur de Lys et dans la capitale. Renaud Dugas, porte-parole de Loto-Québec, La Cour suprême du Canada a déclaré que la société d'État était exclusivement responsable des opérations de jeu qu'elle contrôlait. La gestion tribale des jeux s'accompagne d'avantages particuliers pour la communauté tribale, qu'il conviendra d'organiser dans un avenir proche.
